Je connais un pays, on dirait un jardin,
J’y ai vu des prodiges et de grands chemins.
Il n’y fait jamais froid quelque soit la saison,
J’écoute sa petite voix, guide de l’horizon.
Je connais un pays, celui de mon corps,
J’y ai vu des écrits et des trésors.
Devant ses mystères, je n’ai pas peur,
Car là où je me perd, j’écoute mon cœur.
Je peux y vivre nue et fermer les yeux,
Pas si inconnu, j’avance peu à peu.
Je connais un pays, rempli d’énergie,
Qui colore ma vie de grains de folie.
Abris de mes passions et de l’étrange,
Je te confis ma guérison et t’offre en échange, Un soleil d’or, Au pays de mon corps.
Valérie RIVIÈRE
Psycho-Somatothérapeute
31 – Muret – Toulouse